"Nine lève les yeux vers le ciel et les millions d'étoiles. Toutes les mères de l'univers ont sans doute une vie secrète, des activités à elles, des amis ou des collègues dont elles ne parlent jamais, des rêves enfouis, des soucis qu'elles dissimulent. Des amants, parfois. La sienne a une cabane au bord d'un lac."

Soyez les bienvenus dans cette histoire à la fois réaliste et rocambolesque, dans cette saga familiale où l'on comprend que tôt ou tard, les secrets remontent à la surface... 

 

Fin juin 2016. À la tombée de la nuit, une voiture se gare devant une cabane isolée, au bord d'un lac. Dans la voiture, il y a Nine et sa mère. La première (qui aura seize ans la semaine prochaine) est furieuse : elle va rater la fête de fin d'année de son lycée, à Paris. Mais la deuxième, Titania, s'en moque. Selon elle, "l'heure n'est pas à la fête. L'heure est à la vérité". Et la vérité les attend ici, au bout de ce chemin forestier à peine praticable. 

 

Avant le lever du soleil, la mère va raconter une histoire à sa fille. Mais pas une histoire inventée, comme elle le fait d'habitude dans les romans policiers qu'elle écrit. Car cette histoire, c'est la sienne, celle de sa vie, telle qu'elle n'a jamais pu la dire à personne. 

Pourquoi a-t-elle gardé tant de secrets ? Et pourquoi tout dévoiler maintenant ?

Peu à peu, Nine se laisse prendre par le récit familial. Elle a toute la nuit pour obtenir des réponses à ses questions.

 

 

 

J'ai demandé à Coline Peyrony (ma fille) de réaliser la quinzaine de planches illustrées qui jalonnent les pages du livre. 

Chacune représente des objets emblématiques du roman comme cette Panhard des années 50, véhicule incontournable de la famille dont vous allez faire la connaissance  - Rose-Aimée au volant, les jumeaux Octobre et Orion à l'arrière, et la jeune Consolata au milieu. 

 

 

 

À la façon d'un catalogue (j'avais pour modèle celui de Manufrance), le roman met en scène des téléphones qui n'ont rien de "portables", d'étranges appareils sur lesquels nous écoutions autrefois de la musique non numérique : les radio-cassettes, ou comme ici, les affaires d'une collégienne dans les années 80. (En l'occurence, les miennes !) 

 

Pour accéder au site de Coline et voir tout ce qu'elle fait par ailleurs, c'est ici


En Octobre 2017, le SNE (syndicat national de l'Edition) a créé un prix national de littérature ado, le prix Vendredi - en hommage à Vendredi ou les limbes du Pacifique de Michel Tournier. Il sera désormais attribué chaque année à un ouvrage francophone destiné aux plus de 13 ans.

Le but est de donner à cette littérature dite "jeunesse" une plus large visibilité médiatique et publique. 

Philippe-Jean Catinchi (Le Monde), Françoise Dargent (Le Figaro), Catherine Fruchon-Toussaint (RFI), Michel Abescat (Télérama), Raphaële Botte (Mon Quotidien ; Lire), Marie Desplechin et Sophie Van der Linden (écrivains) composaient le jury.

 

 

 

J'ai été très heureuse de recevoir ce prix pour la première édition ! 

 

Depuis, "L'aube sera grandiose" a également reçu des prix de jeunes lecteurs  : 

  • Prix Libraires en Seine 
  • Prix PEEP  
  • Prix Chronique Online 
  • Prix des Zinzincorrèziens 
  • Prix des lecteurs de la librairie "Vivement dimanche" à Lyon
  • Prix des lecteurs du Var

 

J'ai présenté plusieurs fois le roman sous forme de lectures à deux voix et lectures dessinées, avec Coline Peyrony. J'ai également parlé du roman dans l'émission "La grande Librairie", de François Busnel, sur France 5, en décembre 2017.


J'en parle ici (merci à la librairie Mollat à Bordeaux!)

Vous pouvez écouter cet extrait que j'ai eu le plaisir de présenter lors des rencontres professionnelles à la BNF en octobre 2019 :


 

 

 

Les éditions San Paolo ont publié le roman en Italie en mai 2018.

Une autre traduction est en cours, en Russie.